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Préserver la Coopération Transatlantique et l'accord sur le nucléaire iranien. Une perspective européenne et américaine

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Accroche

Les différends transatlantiques concernant le futur de l'accord sur le nucléaire iranien (ou le plan d'action global commun, Joint Comprehensive Plan of Action - JCPOA - en anglais) nuisent à un accord nucléaire que tous les partis, Etats-Unis mis à part, considèrent comme remplissant son objectif.

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Corps analyses

Ces différends augmentent également le risque pour Washington et pour les capitales européennes d'aller à l'encontre de l'Iran et des autres politiques régionales existantes. Afin d'éviter un tel scénario, les E3 (France, Allemagne, Royaume-Uni)/Union Européenne (UE) et les Etats-Unis doivent établir de nouveaux canaux de communication dans le but d'éviter une rupture transatlantique, pour tenter, dans la mesure du possible, de préserver l'accord iranien et de sécuriser ses intérêts au nom de la sécurité régionale et globale.

Ce contenu est disponible en anglais : Saving Transatlantic Cooperation and the Iran Nuclear Deal. A View from Europe and the United States

Cette publication a été rédigée dans la cadre de la QUAD qui réunit tous les ans depuis 1983, la SWP, la RAND Corporation, Chatham House et l’Ifri. Née à l’époque de la crise des euromissiles, cette rencontre entre Think Tanks européens et américain réunit, dans un format Track 1.5, une trentaine de diplomates, militaires, journalistes et chercheurs autour de questions géopolitiques d'actualité. 

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Corentin BRUSTLEIN

Intitulé du poste

Ancien Directeur du Centre des études de sécurité de l'Ifri

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Dorothée SCHMID

Intitulé du poste

Responsable du programme Turquie/Moyen-Orient de l'Ifri

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Un soldat contemplant un coucher de soleil sur un véhicule blindé de combat d’infanterie
Centre des études de sécurité
Accroche centre

Héritier d’une tradition remontant à la fondation de l’Ifri, le Centre des études de sécurité de l'Ifri fournit aux décideurs publics et privés ainsi qu’au grand public les clefs de compréhension des rapports de force et des modes de conflictualité contemporains et à venir. Par son positionnement à la jointure du politique et de l’opérationnel, la crédibilité de son équipe civilo-militaire et la diffusion large de ses publications en français et en anglais, le Centre des études de sécurité constitue dans le paysage français des think tanks un pôle unique de recherche et d’influence sur le débat de défense national et international.

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Devenir secrétaire général de l'OTAN. Entre critères objectifs, coutumes et homogénéité

Date de publication
26 septembre 2024
Accroche

Après dix ans à la tête de l’OTAN de 2014 à 2024, un record de longévité dû au contexte particulier de la guerre en Ukraine, le Norvégien Jens Stoltenberg quitte ses fonctions de secrétaire général. Son successeur, choisi par les chefs d’État et de gouvernement des États membres, sera Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas pendant près de quatorze ans. Cette nomination invite à questionner les critères et les logiques de sélection des secrétaires généraux, alors que de nombreuses études démontrent l’importance significative du secrétariat international et le rôle croissant du secrétaire général dans le fonctionnement interne de l’Alliance. 

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EUDIS, HEDI, DIANA : que se cache-t-il derrière trois acronymes de l'innovation de défense ?

Date de publication
25 septembre 2024
Accroche

En Europe, alors que la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine montre peu de signes d'apaisement, un écart persistant subsiste entre les besoins en matière de sécurité et les dépenses de défense. Conformément à un engagement de 2006, inscrit lors du sommet de l'OTAN au Pays de Galles en 2014, les membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) doivent consacrer au moins 2 % de leur produit intérieur brut (PIB) national à la défense, dont 20 % doivent être investis dans l'équipement ainsi que la recherche et le développement. En 2024, seuls 23 Alliés sur 32 devraient atteindre ou dépasser cet objectif, bien qu'il s'agisse d'une amélioration notable par rapport aux trois pays en 2014. Ce total inclut les États-Unis (US), qui consacrent 3,38 % de leur PIB à la défense, représentant près de 70 % de l'ensemble des dépenses de défense des membres de l'OTAN.

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De l'Ukraine à Gaza : l'Intelligence artificielle en guerre

Date de publication
10 septembre 2024
Accroche

Les guerres en Ukraine et à Gaza témoignent d'une forte pénétration de l'Intelligence artificielle (IA) sur le champ de bataille. 

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Essaims et combat collaboratif. La saturation à l’ère de l’Intelligence artificielle

Date de publication
16 juillet 2024
Accroche

L'attaque de l'Iran sur Israël le 13 avril 2024, les attaques des Houthis au Yémen et la guerre en Ukraine ont révélé l'importance des essaims sur le champ de bataille.

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Préserver la Coopération Transatlantique et l'accord sur le nucléaire iranien. Une perspective européenne et américaine, de L'Ifri par
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