Hong Kong, 20 ans après la rétrocession
20 ans après la rétrocession à la Chine, le 1er juillet 1997, quelles garanties d'autonomie politique et institutionnelles, alors que Carrie Lam va entrer en fonction à la tête de Hong Kong? Jusqu'où la jeunesse de Hong Kong va-t-elle revendiquer sa propre identité? Quels enjeux pour la ville-monde?
Autour de Christine Ockrent:
- Jean-Philippe Béja, Directeur de recherche Émérite au CNRS. Il a publié Hong Kong 1997 : fin du siècle, fin du monde ?, aux Editions Complexe en 2016.
- Sebastian Veg, Directeur d’études à l’EHESS (Ecole de hautes études en sciences sociales), professeur honoraire à l’Université de Hong Kong, spécialiste des intellectuels chinois au 20e siècle. Il a publié en décembre 2016, "Resisting dissolution: the stalemate between Hong Kong civil society and China’s central government" pour le site internet OpenDemocraty.
- Sébastien Jean, Directeur du CEPII (Centre d'études prospectives et d'informations internationales), ingénieur de l'Ecole Centrale de Paris, il est également Directeur de recherche à l'INRA. Il a participé à la publication de L’Économie mondiale 2017, édité chez La Découverte en 2016.
- Jean-Pierre Cabestan, Directeur du département de science politique de l'université baptiste de Hong-Kong, chercheur associé à l'Asia Centre. Il a publié L'Administration chinoise après Mao : les réformes de l'ère Deng Xiaoping et leurs limites, aux Editions du CNRS en 2017.
- Alice Ekman, Chercheuse, responsable des activités Chine au Centre Asie de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI), elle a participé à la publication Three Years of China’s New Silk Roads: From Words to (Re)action? Études de l’Ifri, février 2017.
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