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Mémoire et réconciliation au Maroc

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Khadija Mohsen-Finan. Le recours au registre de la réconciliation renvoie au passage d’un régime autoritaire à un système politique qui s’ouvre.

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La mise sur pied par le roi Mohammed VI d’une instance Équité et réconciliation vise à faire la lumière sur les violences des « années de plomb », et à accompagner l’ouverture politique du régime. Mais la focalisation exclusive sur les événements et sur les victimes, sans qu’il soit question de désigner les responsabilités – celle de l’État au plus haut niveau – et les coupables, limite la portée de ce processus voué à débarrasser la monarchie de son image autoritaire.

Khadija Mohsen-Finan, chercheur à l’Ifri et enseignante à l’Institut d’études politiques de Paris, est également en charge d’un séminaire à l’Institut d’études de l’islam et des sociétés du monde musulman (IISMM-EHESS). Ses travaux portent essentiellement sur le Maghreb.

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Mémoire et réconciliation au Maroc, de L'Ifri par
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