Daech, né en 2006 d'une scission d'Al-Qaïda en Mésopotamie, semble être, à partir de 2013, un mouvement terroriste parmi d'autres opérant en Irak et en Syrie. La prise de Mossoul, le 12 juin 2014, marque son irruption comme un acteur majeur du djihadisme international...
...Moyen Orient / Maghreb
Du Maroc à l’Arabie saoudite, les destabilisations internes, les redécoupages d’Etats, l’affirmation de nouvelles puissances régionales sont à l’œuvre, dans une région qui demeure centrale pour toutes les puissances de la planète.
Le programme Moyen-Orient / Maghreb de l’Ifri fournit une expertise sur l’évolution des systèmes politiques, ds sociétés et des économies de la région. Il se focalise d’une part sur les évolutions au Maghreb (insertion du Maghreb dans les circuits mondiaux, relations politiques et économiques avec l’Europe et avec l’Afrique sub-saharienne…) ; d’autre part sur les dynamiques du Levant (influences turque et iranienne, risque de somalisation des Etats de la région, recompositions diplomatiques…).
Chercheur, programme Turquie contemporaine et Moyen-Orient de l'Ifri
...Chercheur associé, programme Turquie contemporaine et Moyen-Orient de l'Ifri
...Conseiller pour l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient
...Chercheur associé, programme Turquie contemporaine et Moyen-Orient de l'Ifri
...Chercheur associé, Programme Turquie contemporaine et Moyen-Orient de l'Ifri
...Largement déterminée par l’héritage de la diplomatie de l’après-indépendance, par le repliement contraint de la période de guerre civile et l’obsession de quelques dossiers régionaux, la diplomatie algérienne va devoir se redéfinir face à un monde qui change.
Marquée par son passé colonial, l’Algérie ne souhaite plus que des puissances étrangères s’ingèrent dans ses affaires intérieures.
Vingt ans après la guerre civile qui a ensanglanté l’Algérie dans les années 1990, le pays a retrouvé un semblant de paix et une relative stabilité.
Pendant la guerre froide, l’Algérie était un partenaire privilégié de l’Union soviétique. Les liens entre les deux pays se sont distendus dans les années 1990 avant de connaître un regain depuis quinze ans.
À son arrivée au pouvoir en 1999, le président Bouteflika a cherché à libéraliser l’économie. Les réformes ont néanmoins été infléchies après quelques années.
Les tentatives successives d’institutionnalisation de l’islam de France n’ont pas abouti à un résultat pleinement satisfaisant.
Alors que la crise syrienne est entrée dans sa cinquième année, l’évolution du contexte sécuritaire en Syrie et en Irak depuis l’été 2014 met en lumière le rôle grandissant des Kurdes comme force combattante contre l’État islamique (EI).
...Déjà en novembre 2013, nous alertions sur les fragilités du secteur des hydrocarbures en Algérie1, secteur pourtant capital pour l'économie du pays.
L’État islamique dispose de revenus importants tirés notamment de sa prise de contrôle de banques, de sa maîtrise des réseaux de contrebande, en particulier d’hydrocarbures, et de soutiens externes.
Les pays ont réagi assez différemment à la pandémie du coronavirus. Pour certains, ce fut la préoccupation majeure et unique. Pour d'autres, une préoccupation parmi d'autres.
La pandémie de Covid-19 a freiné les ambitions nucléaires de Riyadh. Mais le royaume saoudien tient toujours à diversifier son mix énergétique. Et les craintes d’un usage militaire de cette technologie, elles, s’affichent déjà.
Au moment où la Russie et la Turquie s'affrontent en Libye, en défendant des camps opposés et avec l'aide de supplétifs syriens, faisant craindre un embrasement général dans la région, Dorothée Schmid*, spécialiste de la Turquie et du Moyen-Orient à l'Institut français...
Isolé diplomatiquement et en difficulté avec son allié russe, le président turc réutilise la menace d’un afflux de migrants comme moyen de pression sur les Européens, analyse Dorothée Schmid, de l’Institut français des relations internationales.
Depuis octobre 2019, la contestation est forte en Irak envers le système politique actuellement en place. Contestation également des présences étrangères, celle des États-Unis, mais aussi celle de l’Iran voisin, soutien politico-religieux de l’actuel gouvernement irakien.
Guerre en Libye, évolution du conflit syrien et de celui israélo-palestinien : Arnaud Kalika, directeur de la Sûreté à Meridiam analyse les grands dossiers à suivre en 2020 au Moyen-Orient.
Dynamique expansionniste turque, nucléaire iranien : Delphine Minoui, grand reporter et correspondante Moyen-Orient au Figaro analyse les grands dossiers à suivre en 2020 au Moyen-Orient.
Situation tendue en Irak, retour de l'État Islamique : Adel Bakawan, chercheur associé à l'Ifri et directeur du Centre de sociologie de l'Irak analyse les grands dossiers à suivre en 2020 au Moyen-Orient.
Alors que l’on parlait en 2019 de reconstruction - matérielle, mais aussi politique, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, 2020 s’annonce à nouveau comme l’année de tous les dangers.
Après deux semaines d'accalmie, les manifestations et blocages ont repris en Irak. Les jeunes réclament la chute du régime, corrompu et garant d'un clientélisme confessionnel. Washington affirme que la coopération militaire va continuer.